Quand je lis les notes sur senscritique ou autres, je me demande si les spectateurs ont des yeux et, accessoirement, un cerveau. A moins, bien sûr, que les notes soient attribuées par des gamins de quatorze ans car, passé cet âge, on peut difficilement trouver un intérêt à ce... truc.
Une succession de clichés et de plans qui ne peuvent que susciter le malaise. "Regarde comme elle est bonne Zenda !" Et ça bave à n'en plus pouvoir. Putain, ça m'a donné la gerbe.
Et vas-y qu'on te recycle le thème du triangle amoureux, revisité façon Twilight. Autant le dire simplement : de la merde. Les acteurs sont moins crédibles que ma belle sœur qui tourne dans un film amateur écrit à l'arrache par un scénariste à moitié soûl. Sauf que ma belle sœur n'encaisse pas un cachet indécent pour faire de la bouse. Et qu'elle n'impose, avec son réalisateur alcoolique, pas son "art" à un large public qui, dépourvu manifestement de tout bon sens, en vient à apprécier n'importe quoi. Finalement, ça devrait la faire réfléchir.
Fort heureusement, il n'y a pas que les acteurs qui sont nuls. La réalisation, la mise en scène, les lumières, les images, etc. Tout est à l'avenant. Un concours de beauté inversé. Tout est assurément laid.
Vous l'aurez compris, si vous avez un minimum de dignité, vous passerez votre chemin en grande hâte devant cette chose qui n'a absolument rien à voir avec du cinéma.