Après avoir vu Un pigeon perché sur une branche qui m'avait laissé une impression en demi-teinte, je craignais de réitérer l'expérience Andersson. À swedish love story m'avait montré qu'il était capable de choses différentes, alors j'ai décidé de retourner m'intéresser à sa trilogie des vivants.
Je ne comprends vraiment pas tout. Tout semble symbolique, métaphorique, les saynètes se succèdent au gré de personnages loufoques et mornes. Au milieu du chaos que semble être le monde, quelques histoires se dessinent, pleines d'humour noir et de cynisme. Je ne comprends pas tout.
Mais comme me l'a appris Donnie Darko, on n'est pas obligé de comprendre pour aimer. Et c'est le cas. Ce film vaut le coup d'oeil, et certaines images continueront de me hanter tant que je n'aurai pas trouvé leur signification.