Le 5ème Andrzej Zulawski que je visionne et donc ce dernier long- métrage marque le retour du metteur en scène Polonais après 15 ans d'absence pour des raisons qu'il lui son propre . Étrange coïncidence "Cosmos" sera son dernier film , emporter par un cancer à l'âge de 75 ans.
Depuis "la fidélité " beaucoup de chose ont changés dans le cinéma et je me demandais comment Zulawski aller négocier ce virage étant donné que ce dernier ne portait pas dans son cœur le cinéma de divertissement purement commerciale.
Une chose est sur. En apprenant qu'il reprenait la direction des plateaux de cinéma, ma joie était étrangement lié avec une certaine exigence dés que cosmos entrerais en contact avec mes yeux.
J'ai été quelques peu déçu, force de ne pas avoir lus le livre de Wiltold Gombrowicz n'y est sans doute pas innocent . Zulawski oblige: la folie est partout, des personnages étranges,hystériques avec l’ impression que les acteurs sont poussés dans leur derniers retranchements. Mais aussi du surréalisme.
Mais voilà rien n'y fait, je me suis perdus dans ce film qui à l'air de sonnée creux par beaucoup de séquences malgré quelques moments de grâce poétique comme le regard de Victoria Guerra qui fait qu'on ne reste pas indifférent.
Ce n'était pas un film grand publique , les chiffres parlent d'eux même: 4000 entrés environs. Il est réservé beaucoup plus à des cinéphiles d'art et d'essaie.
N'ayant que très peu apprécier Cosmos et étant peu être son film le plus décousus et le moins accessible de tous je vous dis quand même merci monsieur Zulaswki pour tout ce que vous avez amenez au cinéma et tout ce que vous m'avez apporté.