Ayant réussi à amener ma belle et douce dans un cinéma indépendant pour profiter d’un production française, je m’attendais à voir une suite de Au revoir là-haut (produit par Dupontel quelques années auparavant). Que ne fut pas notre surprise quand nous avons assister, minute après minute, heure après heure, à un enchaînement de scènes plus ridicules les unes que les autres.
Aucune crédibilité (une patronne qui demande à sa bonne sur quel gisement de pétrole placer toute sa fortune) et une morale douteuse (saboter le moteur à explosion de son ex-conseiller par vengeance personnelle alors que cette invention aurait peut-être changer le cours de la seconde guerre mondiale). Et au-dessus de tout Cornillac (qui produit le film, arf) se fout le meilleur rôle du sauveur, droit dans ses bottes qui n’a rien à se reprocher.
Et en plus ça dure 2h30.
Une blague, pis, une honte.