ÀlÀlÀlÀÀQuand je suis tombée sur ce titre, volontairement occulté de ma mémoire, un sursaut d'horreur.
Quel torture se fut de subir en boucle ce film à la mode à l'époque par les "amies".
Une nénétte, belle, pure, innocente, s'installe dans la grosse pomme pour devenir célèbre.
EComme job, elle se trémousse sur un comptoir avec ses collègues. La chance : pas de pochetrons ou de pervers dans ce bars. Juste des acclamations de neuneus. Oser se déhancher tshirt mouillé par de l'alcool autoinfligé est une véritable jouissance pour notre puribonde. Mais chanter en public est impossible pour celle qui est venue faire carrière à New York...Et elle se réfugie dans l'alcool. Non, en vérité, nous restons dans la futilité, avec le prince charmant en prime et la vision niase la vie.
Le temps est longs devant ce navet et les tympans souffrent.