Crépuscule à Tokyo outre qu’il soit un chef d’œuvre dont on ne se lasse pas, ferait répéter ce qui pourrait s’apparenter à une rengaine vis-à-vis de la filmographie d’Ozu : « une œuvre marquante ». Oui, ces quelques mots deviennent une rengaine en ce qui le concerne, lui et ses œuvres, tant son cinéma nous touche, nous saisit au plus profond de nous-même. Un maître. Et Crépuscule à Tokyo est ici pour confirmer une nouvelle fois cet état de fait.


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IllitchD
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le 22 oct. 2012

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