Critiques de Crépuscule à Tokyo

Docteur_Jivago
8

♪♫ Noir c'est noir, il n'y a plus d'espoir ♪♫

Dernière oeuvre en noir et blanc d'Ozu, Crépuscule à Tokyo nous fait suivre le destin de deux sœurs, confrontées à divers malheurs et devant faire face à une révélation qui bouleversera encore plus...

le 13 janv. 2017

29 j'aime

Teklow13
9

Critique de par Teklow13

Sans perdre la pudeur et la délicatesse qui fondent son cinéma, Crépuscule à Tokyo se démarque un peu de ses autres films. C'est son film le plus sombre et le plus mélodramatique que j'ai vu jusqu'à...

le 12 sept. 2012

12 j'aime

philippequevillart
8

Lumière aveugle

Avec Crépuscule à Tokyo, on reconnaît explicitement la marque Ozu, c’est indéniable. Plans filmés à hauteur de tatami, couloirs étroits, une caméra non mouvante, ce qui n’empêche nullement une...

le 13 mai 2019

10 j'aime

abscondita
8

Quand Ozu fait du tragique...

Crépuscule à Tokyo est le dernier film noir et blanc d’Ozu, un film très particulièrement sombre et même tragique. On y retrouve les thèmes chers à Ozu : la famille, le temps qui passe, la solitude...

le 20 févr. 2024

9 j'aime

7

IllitchD
8

Critique de par IllitchD

Crépuscule à Tokyo outre qu’il soit un chef d’œuvre dont on ne se lasse pas, ferait répéter ce qui pourrait s’apparenter à une rengaine vis-à-vis de la filmographie d’Ozu : « une œuvre marquante »...

le 22 oct. 2012

7 j'aime

1

limma
7

Critique de par limma

Malgré la récurrence de ses thèmes, chaque film de Y.Ozu est différent et Crépuscule à Tokyo (Tōkyō no yūgure) plus sombre, s'exempte de toute fantaisie et, malheureusement, de toute la verve notoire...

le 29 déc. 2023

4 j'aime

zardoz6704
7

Ha oui quand même

Mon Dieu, qui a versé cette grande tasse de noirceur dans mon Ozu ? Tous les plans ont des ombrages portés très marqués ; on fait des allers-retours entre un tripot, un bar miteux, un commissariat,...

le 30 nov. 2023

2 j'aime

Flip_per
8

Critique de par Flip_per

D'une infinie délicatesse, comme ces plans trois-quarts dos accompagnant les protagonistes dans leurs détresse muette, solitaire (Kisako, la mère, en particulier). Dénonciation d'une morale sociale...

le 7 avr. 2024

1 j'aime

renardquif
9

Critique de par renardquif

-quelle régularité, quelle excellence! je crois que je n'ai pas encore vu un seul mauvais (ou juste moyen) film d'Ozu pour l'instant... + Le saviez-vous ? Ozu fut le cinéaste préféré de Mizoguchi.

le 26 févr. 2020

1 j'aime

7

MaraDes_Bois
8

Exercice de Zen ?

A partir d'une histoire simple (une femme qui quitte mari et enfants, une jeune fille engrossée et abandonnée par son petit ami), Ozu nous embarque pour 2h20 de promenade à travers un Japon qui...

le 9 sept. 2018

1 j'aime