Tōkyō boshoku

Sans perdre la pudeur et la délicatesse qui fondent son cinéma, Crépuscule à Tokyo se démarque un peu de ses autres films. C'est son film le plus sombre et le plus mélodramatique que j'ai vu jusqu'à...

Crépuscule à Tokyo est le dernier film noir et blanc d’Ozu, un film très particulièrement sombre et même tragique. On y retrouve les thèmes chers à Ozu : la famille, le temps qui passe, la solitude...

Avec Crépuscule à Tokyo, on reconnaît explicitement la marque Ozu, c’est indéniable. Plans filmés à hauteur de tatami, couloirs étroits, une caméra non mouvante, ce qui n’empêche nullement une...

Et si nous avions aimé cette Afrique, peut-être nous l'aurait-elle rendu, mais il est vrai que nous n'étions que des administrateurs

ce dernier coucher de soleil est un grand film malade dit Tavernier, inachevé et incestueux, le seul de sa catégorie d’ailleurs. Dommage

Film courageux dénonçant l'obscurantisme d'une caste religieuse bientôt supplanté par une autre caste au devenir mafieux