Des fondus aux transitions, je trouve que cette austérité s'abreuve d'un rouge menaçant qui affecte aussi bien les hommes que les femmes : le bien du mal. Un rouge qui déséquilibre totalement les émotions fusionnelles aux transitions. Un rouge sang qui prédit la mort et unit les jeux d'ombre à ceux de lumière. Entre héritage familial et séparation fraternelle, je ne sais pas où me placer. Je trouve perturbant la manière dont la répétition qui, bien qu'elle soit travaillée et reflète l'apparition des personnages dans les séquences à venir, demeure en tant que rougeole proliférante qui peut être lassante lors du visionnage.