Illusions perdues
Douce, un mot qui effleure comme une caresse, que l’on murmure, que l’on susurre, qui vous reste au bout de la langue comme une friandise, et pour l’heure, un prénom. 17 ans, petit visage fin et...
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le 3 juin 2016
71 j'aime
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Critiques
Douce, un mot qui effleure comme une caresse, que l’on murmure, que l’on susurre, qui vous reste au bout de la langue comme une friandise, et pour l’heure, un prénom. 17 ans, petit visage fin et...
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le 3 juin 2016
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1943, la France se fredonne Douce avec un petit concentré de ce qui se faisait de mieux comme cinéma sous l’occupation : Claude Autant-Lara filmant Odette Joyeux déclamant du Aurenche et Bost et...
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le 20 déc. 2014
32 j'aime
9
La comtesse de Bonafé n'est pas femme commode. En 1887, dans son hôtel particulier parisien, elle règne d'une main de fer agrémentée d'une langue de vipère sur sa famille et son personnel, tous...
le 5 sept. 2016
29 j'aime
7
Deux films de Claude Autant-Lara se succèdent en 1942 et 1943 mettant en scène Odette Joyeux dans le rôle d'une jeune fille de souche aristocratique qui s'ouvre à l'amour mais à un amour...
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le 21 mars 2022
15 j'aime
7
Douce est un drame réalisé par Claude Autant-Lara, coécrit par Pierre Bost et Jean Aurenche, d'après le roman (dont le titre dévoile la fin...) de Michel Davet... qui met en scéne à la fin du XIXe...
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le 28 juin 2018
4 j'aime
3
Un des 4 ou 5 chef d'oeuvres réalisés par Claude Autant-Lara. Adapté d'un roman de Michel Davet (en fait, un pseudonyme qui cachait une femme) par Jean Aurenche et Pierre Bost, ce film, un...
le 3 août 2014
3 j'aime
1
Un an après le très plat « Lettres d’amour », Claude Autant-Lara dirige à nouveau Odette Joyeux dans « Douce ». Mais cette fois il s’agit d’une critique sociétale au vitriol, contenue au sein d’une...
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le 18 mars 2021
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Un Noël qui tourne mal ou la lutte de classes selon Autant-Lara: le futur réalisateur de La traversée de Paris (1956) livrait avec Douce une satire sociale grinçante et jubilatoire qui n’exclut...
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le 29 août 2020
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