FILM DE L’ANNE CASH… Ca y’est enfin c’est vu.
Et bien tout comme je l’avais prédit : une magnifique bande son à tomber, plans iconique, climax rares mais très vénères (bien que la fameuse séquence de l’ascenseur reste un chouïa too much) et la confirmation que ryan gosling est prédestiné à percer. et chose nouvelle : Nicolas winding refn qui tout en conservant son obsession du contemplatif, du mutisme et du silence ( comme à son habitude, les dialogues ne sont pas légion , enfin chacun son point de vue) parvient à l’expurger de ses aspects disons, assez hermétiques (malgré tout le bien que l’on puisse penser de ces précédent travaux, la lenteur et l’ambiance glacial en a laisser plus d’un sur le carreaux, notamment sur vahalha rising, ) facilitant cette l’empathie pour les personnages , à l’instar de Darren Aronofski passant d’un pique a glace comme « the fountain » à une grenade à fragmentation chargé d’émotion à te faire chialé un vin diesel avec « the wrestler »…
et preuve est faite qu’une romance classique peut être plus poignante que d’autre avec peu de « mots », qui plus est dans une série B .
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