Quand le passé (lointain) refait surface

Requins et cinéma c’est une combinaison qui fonctionne plutôt bien, on ne compte plus le nombres de métrages qui met en scène des gros poissons bien méchants.
" Jaws " et oui, ou encore " Peur Bleue ", ou des nanards comme " Sharkanado " bref, qu’en est t’il ?

" The Meg " (en anglais) ne déroge pas à la règle, on y retrouve le badass et charismatique héros incarner par un Jason Statham comme d’habitude très convaincant, un scientifique qui voie tout le monde se faire bouffer mais qui veut quand même faire avancer la science et un tas d’autres scientifiques qui disent.. des trucs scientifiques auquel on comprend rien du tout, et surtout le requin.
Cette fois ci, un mégalodon, espèce disparue du règne aquatique qui remonte à la surface.. il est gros, plein de dents et aussi vrai que nature. Il ne faut pas chercher ici un but de réflexion, on se laisse naviguer entre scènes d’actions et de tensions purement divertissantes et à la fois plutôt bien réalisées et l’habituel relation entre les personnages qui ont chacun un trait de personnalité au plus le tout arroser d’un humour gras.
Ça ne réinvente pas le genre, mais ça reste très efficace et c’est ce qu’on attend d’un film du genre, Jon Turteltaub fait le taff et rejoins la liste des nombreux réalisateurs qui ont nager trop près des requins.