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Ichi raque
Ah ! la sobriété du cinéma nippon ! Ben le moins qu'on puisse dire, dans ce domaine, c'est que Miike n'est pas l'héritier d'Ozu. Car s'il y a bien un adjectif qui qualifie ce film, c'est...
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Folie au pays des Yakuza
Réalisateur avec un cv riche d’une soixantaine de métrages : " Gozu ", " Audition " ou encore la saga des " Dead Or Alive " Takashi Miike est un de mes réalisateur préférer.
Déjanté, violent, tendre, viscéral résume une infime variation de son cinéma aussi loufoque que gore et c’est là que " Ichi The Killer " prend du sens.
De base il s’agit d’un manga de Hideo Yamamoto plutôt fidèlement adapter par Miike.
En résumé, la traque d’un somme d’argent disparu par un tueur à gage du nom de Kakihara entre quelques prostitués, de Yakuza et d’un mystérieux tueur.
C’est cru, violent, repoussant et gore. Ça ne peut évidement pas plaire à certains, évidement rebuter quelques uns et aussi en faire rire d’autres de part ce côté de la violence très dessin animé mais quand même, le film est captivant et ce détache par moment de la réalité pour retourner l’estomac aux plus téméraires.
Du grand Miike, plus dans la forme que dans le fond, on notera quelques interprétations moyennes mais tout de même, pour les amateurs du genre il y a de quoi faire et ça ne déroge pas au reste de sa filmographie tout en restant une bonne histoire de Yakuza particulièrement détonante.
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le 2 avr. 2020
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