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En fanfare
6.9
En fanfare

Film de Emmanuel Courcol (2024)

Bonjour tout le monde,

Il est ardu de pouvoir réaliser, donc faire naître au monde , tout film actuellement et voici une citation qui date de la fin du vingtième siècle par un réalisateur inouïe et génial :

"Quiconque a eu le privilège de réaliser un film est conscient que c'est comme vouloir écrire Guerre et Paix dans l'auto-tamponneuse d'un parc d'attraction, mais lorsqu'enfin la tâche est bien accomplie, peu de choses dans la vie peuvent se comparer à ce que l'on ressent alors".( citation du génial Stanley Kubrick dans le livre :
Kubrick, de Michel Ciment, éditions. Calmann Lévy, édition complète de 2004 en page 303).

" Egmont " de Ludwig Van Beethoven ouvre " En fanfare" avec délice et félicité pour nos oreilles ravies et nos yeux éblouis face à un grand orchestre symphonique dont le chef d'orquestre est incarné par Benjamin Lavernhe dans le rôle de Thibault.
Quant à Jimmy , employé de cantine dans une structure dans le Nord de la France, est campé par Pierre Lottin au sein de cette œuvre cinématographique musicale, sociale , politique, poétique et véritablement humaniste.
Thibault vit son métier et baigne dans la grande musique classique !
Jimmy vit avec son trombone au sein d ' une fanfare comme il y en a tant dans les villages ou les villes et où des ouvriers subissent la violence légale du capitalisme financier multinational!Jimmy adore la musique de manière atavique et Thibault a pu étudier l' art musical et intégrer les subtilités de la conduite des grands orchestres symphoniques dans le monde entier........Jimmy est instinctivement doué par la musique populaire( chansons de Charles Aznavour, et cetera...........) et locale et il est connu dans son village......... Intéressant comme début de ce long métrage véritablement vivifiant, sincère et bienveillant!
Tous ces adjectifs sont positifs et pensés naturellement , car une œuvre cinématographique, qui vous donne du bonheur sans mièvrerie , se doit d' être soulignée, signalée et partagée avec le plus de personnes possibles...........et surtout vues , voire revues .............

En son temps, Maurice Ravel, visitant une usine en fonctionnement, écouta le bruit des machines et, chemin faisant , des notes de musique naquirent au sein de son cerveau fécond et cela devint le fameux " Boléro" qui est l' oeuvre musicale la plus fréquemment interprétée au monde..................

Ici et maintenant, je vous propose ce qui me vient en mots autour de ce beau film qui illustre avec merveille qu' il n ' existe qu' une seule musique, celle qui fait aimer la vie tout simplement ! Merci beaucoup Emmanuel Courcol !

Autour d' Egmont.
Tout d ' abord :
Ludwig Van Beethoven !

Certes, cette œuvre musicale du grand LVB - Ludwig Van Beethoven - n' est pas aussi fréquemment interprétée que le ' Boléro " de MR- Maurice Ravel, mais tout de même !

". .....Or donc ,Egmont, opus 84, est une musique de scène constituée d'une ouverture et de neuf parties pour soprano, récitant et grand orchestre composée par Ludwig van Beethoven entre octobre 1809 et juin 1810, destinée à la pièce de Goethe Egmont. L'histoire et l'héroïsme du comte d'Egmont fournirent à Beethoven l'occasion d'exprimer au passage ses propres préoccupations politiques, et d'exalter le sacrifice de l'homme condamné à mort pour s'être dressé contre l'oppresseur
Le sacrifice héroïque du comte d'Egmont inspira à Beethoven une de ses plus brillantes ouvertures.
La musique fut accueillie par des critiques élogieuses, notamment d'E.T.A. Hoffmann, quant à sa poésie et sa réussite à s'associer à la pièce, et Goethe lui-même déclara que Beethoven s'était prêté à ses intentions avec « un génie remarquable ».( Source : Wikipédia).

De la musique symphonique aux textes .....
Léo Ferré :

Le très regretté Léo Ferré a signé un texte magistral sur les riches notes musicales de Ludwig Van Beethoven et les voici :

" Au fond d'une guitare enragée à l'automne
Il y avait du sang comme un dièse mouillé
C'était à Bonn au détour d'une rue...

S'il fallait parler de cette romance en allée dans la rue
Avec ses habits du dimanche
Alors que la semaine s'étire on ne peut mieux, au bout
de l'incertain et du tragique
S'il fallait chanter cet éternel recommencement qui tient de
l'habitude et du savoir constant vérifié par les arbres
Par les crépuscules teints
Par les regards cachés derrière la pensée perverse ou religieuse
S'il fallait dire un peu de cette insouciance et qui nous mène
au jardin des faillites et de la solitude
S'il fallait... S'il fallait...
Alors remonterait du fond de nos cagibis inconscients
Du fond de notre vouloir le plus profond
La certitude,
Le temps précis et incalculé et toujours indemne,
Alors s'emballerait notre habitude retenue par la défense
de s'insurger, de s'éprendre, de s'illusionner.
Coriolan n'était qu'un prétexte. Egmont? Parlons-en.
Tu te souviens?

Sur cette plage toute en graviers
Cette plage défaite au nom d'une certaine compromission
entre la mer et le spectacle
Cette plage que tu voulais défaite et soumise
à ton imaginaire chorégraphie d'enfant seul et triste
Tu t'en souviens?
Et tu chantais... et tu chantais... et tu chantais...
Et tu pensais qu'Egmont c'était la mer, le drame, les larmes,
La beauté de cet instant fabuleux de solitude exaucée
Tu l'avais dit, et tu l'avais crié à ce prof impotent du verbe
et de la grâce, et tu t'étais caché parce que tu étais
seul au monde, et vaincu, et grinçant contre l'imbécillité
secourue et protégée par la loi et par le nombre.
Depuis, Egmont me remonte comme la mer
après ses descentes impitoyables au fond des enfers
et de la nature fidèle.
Egmont, comme une source bienheureuse et coulant
comme une génération tout entière de bienfaits uniques,
Parce que tu es l'Unique
Parce que je t'ai donné l'Unique et ce Temps
Qui s'est arrêté au bord de la seule invention de l'homme...
Devine!

L'illusion s'arrange et s'indemnise au mieux de l'imaginaire
et de la folie. Je m'illusionne et je pars m'illustrant moi-même
et me regardant à travers le style enfin parcouru au long
de tous ces silences, de toutes ces vicissitudes interpolées
par des copistes dont je me fais le modèle transmis
d'on ne sait où et, sans doute, par voix orale.
Quand je parle à l'illusion je suis à Bonn sous-traitant
la quatorzième symphonie chez un archiduc de mes prétendants...
Je vais alors et maintenant vers l'horizon blafard et souriant
peut-être, parce que de mon œil jusqu'à son désir de paraître
il n'y a probablement qu'une intention d'architecte.
Ce que je vois se perd.
Ce que j'instrumente ne peut qu'être perdu aussi.
L'instinct du hautbois est une crécelle inventée
par des lèvres secourues.
Le vent, d'habitude, s'informe de ses perverses possibilités
et se retrouvera bientôt dans le plan général de ces bois
vertueux et grinçants rien qu'à l'idée de se protéger
tout en haut, à l'aigu, se défendant aussi
de la fable contrapuntique et apprise sur les bancs de l'informe
et de la décadence.
Le chant... le chant... et cette vertueuse passion
qui ne va jamais au bout de la relative inversion,
dans le moins, que l'on ne découvre qu'à force de bienfaits
dans l'outrage et dans le sacrifice propitiatoire.
Un peu comme la terreur obligée du stupre
et de la revendication.
Je sais des formules apprises. Je leur crachais dessus.
Je sais des impossibilités pratiques. Je les décontenançais
à force d'incroyable.
L'incroyable, c'est la porte de secours que je poussais
quelquefois, et personne jamais ne s'en est aperçu.
La perversion m'obligeait à me rendre tel que les pervers
pouvaient m'imaginer, et encore... Cette perversion
tellement cachée au fond des mers conscientes
revues et corrigées par le cynisme des lois de préférence
pénales, je l'entendais au fond de moi, comme les accords
de la Neuvième que j'avalais de travers parce qu'engloutis
pêle-mêle dans ma bouche auriculaire, et je la rendais
à qui de droit, je veux dire aux inadaptés de l'esprit.
Ils croyaient que je me trompais alors que Stravinski c'était
déjà moi. Avec le sourire en plus. Enfin... ce sourire
tout près de vos larmes.
Il faut bien concéder. ça favorise et ça trompe les historiens.

J'allais jouer à la marelle, avec trente-deux cases.
La sonate pour piano, c'est une démission de joueur.
Quand Dieu se masturbe, il met du cassis dans ton vin blanc
et tu jouis en même temps que lui,

à cela près que Dieu c'est toi aussi.

Vous n'êtes rien moins que les informes copies de votre
propre imagination. Lorsque tu imagines, tu crois être dans
le spectacle alors que le spectacle te regarde et te vérifie.
Quand je transpirais auprès de Térésa, elle prenait ça
pour du génie. Mon génie c'était justement de m'arrêter
à temps, au bord du non-dit et de l'informulé.
Tu sais bien que Rembrandt n'a jamais dessiné que des
fadaises. Si tu voyais ce qu'il voyait tu t'arracherais
mes oreilles.
Nous sommes d'un monde non édifié et que nous sommes
seuls à parcourir, encore qu'il y faille un peu de désordre
aussi et de cette indicible beauté qu'on ne dit même pas
en musique ou au fusain et que nous immolons chaque soir
avant de parcourir l'inédit et la fantastique pâleur
du silence et de l'objective inanité.
Le néant, vraiment, finit par avoir une consistance,
tellement nous nous en informons, tellement nous le parlons
avec nos mots et nos idées, alors que l'idée même
en est transfigurée par nos sens et notre dérisoire entendement.

Coriolan n'était qu'un prétexte. Egmont? Parlons-en
Tu te souviens ?
Sur cette plage toute en graviers
Cette plage défaite au nom d'une certaine compromission entre
la mer et le spectacle,
Cette plage que tu voulais défaite et soumise à ton imaginaire
chorégraphie d'enfant seul et triste, tu t'en souviens ?
Et tu chantais... et tu chantais... et tu chantais...
Et tu pensais qu'Egmont c'était la mer, le drame, les larmes,
la beauté de cet instant fabuleux de solitude exaucée,
Et tu l'avais dit, et tu l'avais crié
à ce prof impotent du verbe et de la grâce,
Et tu t'étais caché parce que tu étais seul au monde,
et vaincu, et grinçant contre l'imbécillité secourue et protégée
par la loi et par le nombre.
Depuis, Egmont me remonte comme une source bienheureuse
et coulant comme une génération tout entière de bienfaits
Uniques,
Parce que tu es l'Unique
Parce que je t'ai donné l'Unique
Et ce Temps qui s'est arrêté au bord de la seule invention de l'homme...

La douleur"......( Paroles : Léo Ferré, musique : Ludwig Van Beethoven et chef d' orchestre : Léo Ferré lors de cet enregistrement).

Il y a uniquement les musiques vivantes, parfois , tissées par des mots uniquement vivants !
Tout vrai art est toujours vivant !

Je crois qu' un des messages du film d' Emmanuel Courcol peut être cela :
Tout vrai art est toujours vivant et atemporel ! Tout vrai art est accessible à toute personne !
Êtes- vous d' accord avec ces deux aphorismes

Musiques des fanfares et musiques des orchestres sont en harmonie , un peu comme sœur et frère!

La musique semble avoir un réel pouvoir sur l'âme et sur les sentiments, car elle adoucit ou modifie , peu ou prou, les mœurs. De nombreux auteurs ont réfléchi sur cet art ancestral, de Platon à Victor Hugo , en passant. par Friedrich Nietzsche, et cetera .............
Voici cinq citations autour de la musique :

-“La musique seule a une place dans le monde actuel, précisément parce qu’elle ne prétend pas dire des choses déterminées".
( de Mikhaïl Bakounine).

  • “Toutes les musiques qui viennent d'un vrai sentiment sont bonnes. Qu'importe alors la forme qu'elles prennent.”
    (d' Akosh Szelevenyi).

Nous avons , toutes et tous, une définition de la musique. ' Quelle est la vôtre ?

Peut - être, dans votre commune, il existe une fanfare comme celle où Jimmy joue avec son trombone........
Remontons un peu dans le temps......
Les enluminures du Moyen Âge, conservées en France et au Royaume-Uni notamment, représentent la présence des premières formations de fanfares. La fanfare la plus ancienne, active encore de nos jours ,est la Società Filarmonica Guido Moretti créée en 1518. Donc cela date..........

Une fanfare se compose d'un ensemble de musiciens qui jouent essentiellement des instruments à vent (en particulier des cuivres) et des percussions. Ce type d'orchestre se produit le plus souvent dans la rue en réalisant des déambulations et , notamment, lors de la fête de la musique, le carnaval, et cetera ...........

Jouez - vous de la musique ? Je ne fais qu' écouter des musiques..........

Voici un extrait d' un article paru, récemment , dans le journal " Le Parisien" :

Verra - ton Pierre Lottin à la Comédie française ? Si cela lui dit ......Oui évidemment !

Emmanuel Courcol, comédien talentueux , est devenu réalisateur en septième art !

Il a reçu une nomination au César du meilleur scénario original en 2010 pour Welcome, Prix Jacques-Prévert du scénario la même année.

Sélectionné au Festival de Cannes 2020, Un triomphe a reçu le Valois du Public au Festival du Film Francophone d’Angoulême et le Prix de la meilleure comédie de l'année lors de la 33 ème cérémonie des prix du cinéma européen.( Source Wikipedia).

Voici , uniquement, ses créations, comme scénariste et réalisateur, de films qui sont sorties en salle de cinéma à ce jour :

2001 : Mademoiselle de Philippe Lioret (adaptation, dialogue)
2004 : L'Équipier de Philippe Lioret (scénario original)
2009 : Welcome de Philippe Lioret (scénario original)
2011 : Toutes nos envies de Philippe Lioret (scénario, dialogue, adaptation)
2015 : Boomerang de François Favrat (scénario, adaptation)
2015 : Tête baissée de Kamen Kalev (scénario original)
2016 : Cessez-le-feu de lui-même (scénario original)
2019 : Je voudrais que quelqu'un m'attende quelque part d'Arnaud Viard (collaboration au scénario)
2019 : Au nom de la terre d'Édouard Bergeon (scénario, adaptation)
2021 : Un triomphe de lui-même (scénario original)
2022 : La Promesse verte d'Édouard Bergeon (scénario original)
2024 : En fanfare de lui-même (scénario original).

2012 : Géraldine je t'aime de lui-même (scénario original).

2- En qualité de réalisateur :

2016 : Cessez-le-feu
2021 : Un triomphe
2021 : Boxer les mots (documentaire)
2024 : En fanfare

2012 : Géraldine je t'aime (court métrage)

( Source : IMDB. Com. voici le lien vers internet :
https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&opi=89978449&url=https://www.imdb.com/&ved=2ahUKEwidgfSF54GKAxX7K_sDHbYrGosQFnoECAsQAQ&sqi=2&usg=AOvVaw0bfSGQSfl6hZdrs13lj3BU).

  • " Egmont " de Ludwig Van Beethoven et les caméras montrent avec bonheur ce que Thomas peut ressentir en dirigeant un tel orchestre symphonique et nous devinons la quantité d' heures de travail nécessaire pour atteindre une tel niveau d' osmose entre les musiciens et Thomas.
  • Des plans séquences étonnants qui concernent le personnage de Jimmy en tenue de travail. Les caméras soulignent la persévérance logique et constante de Jimmy quant au contenu de son travail et sa joie de jouer juste avec son trombone au sein de la fanfare de sa commune.
  • la rencontre entre Thomas et Jimmy sonne limpide et comique et nous le devons à la mise en scène mais également aux deux protagonistes principaux dans la maison de la mère de Jimmy, par ailleurs prestement incarnée par Clémence Massart- Weit je crois.
  • Les mouvements de caméra nous mêlent habilement dans la vie quotidienne lors des répétitions de la fanfare où Jimmy joue juste.
  • les personnages principaux et secondaires sont dessinés avec simplicité et minutie.
  • l' ambiance festive au sein des fanfares nous est pertinemment restituée .
  • La prestation de Thomas en dirigeant la fanfare et ainsi en initiant Jimmy à cet art.
  • quatre fois l' écran devient durant quelques secondes ,Cela marque fichtrement bien les différentes phases du récit visuel et sonore ,
  • les choix musicaux composent harmonieusement la synthèse entre musique " classique" , musique " contemporaine, jazz, chansons de variétés et thèmes musicaux spécifiques aux fanfares.
    -La magnificence des plans séquences conclusifs , tournés dans la jolie ' architecture définie comme déconstruite de la Scène Musicale à Boulogne - Billancourt, précisément sur l' île Seguin où, jadis, travaillaient les ouvriers de la régie Renault évidemment.

Saluons ce film d' Emmanuel Courcol qui nous fait réfléchir et qui donne un vrai espoir dans le genre humain !

Qu'en pensez - vous ?

Bien à vous.

Gérard Michel

Iloonoyeil
9
Écrit par

Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Emmanuel Courcol et Les meilleurs films de 2024

Créée

le 29 nov. 2024

Modifiée

le 29 nov. 2024

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Iloonoyeil

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