Volonté de bien faire . Volonté d'être un auteur . Plans et transitions poseuses . Répétition . Passage sur l'enfance très correct . Manque de nuance . L'arbre qui n'arrive pas à cacher la forêt . Viggo est canon quand même . Musique plombante . Bon personnage maternel . Homophobie exacerbée . Trop de flashbacks, trop explicatif, trop démonstratif . Homophobie à volonté . Beaucoup de vérité dans le divorce vécu par les enfants . Répétition . Blagues homophobes . Créativité dans l'homophobie . La coloscopie c'était histoire de caser une ou deux blagues, on va pas se mentir . Où on va ?
Tiens, une photo d'Obama sur le frigo . Tiens, un fusil dans le salon . Tchekhov si tu nous écoutes . Scènes fonctionnelles . On sent venir l'explication psychologique toute pétée . Dialogues surfaits . On est trop dans un drame de cinéma . Répétition . On s'ennuie . La meuf derrière moi arrête pas de faire "OOOH MON DIEU" à chaque réplique homophobe, mais dans quel monde elle vit, faut sortir de chez soi un peu madame . Encore une réplique homophobe, on a compris que c'était un peu l'attraction . Venez, approchez mesdames et messieurs, découvrez le fascisme à son état le plus divertissant . Pas assez incarné . Où on va ?
Une ado semble résister à son grand-père . On aime ça . Enfin un peu de vérité, pas obligé d'insister dessus, pas besoin de verbaliser le visible . "Eh j'ai pas peur de lui !" . Bon, dommage . Rien n'avance . Scènes inutiles . Trop d'idées pour en revenir au même point, scénario peu sélectif . Et voilà la scène d'engueulades, le truc inévitable de ce genre de films, parce que oui, ce film est désormais officiellement "ce genre de films" . C'est mal joué . C'est trop fonctionnel, pas incarné, mal amené, couru d'avance . Effets de montage intéressants mais pas assez creusés, c'est con pour un film construit en flashbacks . Quel scnéario de merde . On sort du film . On sort de la salle . Où on va ?
Dans le bar d'à côté.