On reconnaît bien là toute la mouvance des films musicaux et dansants des années 80, résumant leur intrigue à une banale histoire d’amour un peu improbable et compilant les images de sveltes corps (souvent féminins) suant et dansant, se tordant lascivement au rythme d’une disco tout à fait légitime. A l’époque cela avait surement tout du divertissement suprême et rafraîchissant, à la morale heureuse et au propos léger. Mais de nos jours cela n’est que mauvais. On regarde d’un œil distrait, on en rigole, heureusement, puis on oublie.