Faire une préquelle est plus dangereux pour la licence d'origine , qu ' autre chose , nous avons vu les bêtises sur la prélogie Star Wars et le « Hobbit « . Je n ' était pas très favorable , au projet Arise , qui devait expliquer la constitution et les origines de facto de Motoko Kusanagi . Les OAV d ' arise sont pour moi indigeste , cela s ' arrange grandement avec « Pyrophoric cult « , bien plus convaincant et reprenant le système stand alone complex .
« Ghost in the shell – the movie « est une vraie preuve d ' amour envers l ' équipe de Motoko Kusanagi , il y a très peu de fan service putassier ( je reviendrais à la logique de la dernière scène ) .« Ghost in the shell – the movie « pose les bases qui permet de bien mieux comprendre le manga et les séries animées . Tous y est , comme l ' explication du “ le net est vaste ” ; qui nous as tous cueilli à la fin de ce chef d ' œuvre d ' Oshii en 1995 .
Ce film est techniquement parfait , j ' ai pris mon pied durant deux heures et cela faisait très longtemps que je n'avais pas adoré ça . Il n ' y a pas de faute de goûts , les équipes ont tout fait pour être raccord , on peut enchaîner aussi bien sur le film que sur stand alone complex , je défis quiconque de faire de même après la prélogie Star Wars ou ce truc plein de gras de « the Hobbit « .
Plan final – plan d ' ouverture
Qu 'est ce qui iconise Motoko Kusanagi ? Son saut de l ' ange / exécution avec la disparition du Major avec son camouflage thermo – optique . La dernière scène de « Ghost in the shell – the movie « paraphrase entièrement , sous un autre contexte l ' ouverture de 1995 , il faut y voir un cycle , à la fin de « Ghost in the shell – the movie « .
Nous passons d ' une Kusanagi , soldat sorti du rang , hacker géniale à une militaire gradée , sur d ' elle , froide comme le katana légendaire dont elle porte le patronyme .
Si Oshii le dit …
Pour conclure , il faut parler du documentaire sur le DVD qui parle des 25 ans de « Ghost in the shell « en le remettant dans son contexte historique . Les réalisateurs parlent de leur passion pour l ' univers crée par Shirow . Mais ce qui me fait plaisir , après la tristesse du trailer de la cochonnerie qui va nous tombé dessus en 2017 , est que Mamoru Oshii , qui collabora deux fois avec Masumune Shirow dit la chose suivante : aune actrice ne peux incarner Motoko Kusanagi , ce réalisateur , quoique on en pense à fermé le ban envers l ' américaine tremblotante .