Avoir les Crocs
Lumière, costume, musique ou encore atmosphère bleutée, les premières minutes de Glengarry sont très ancrées dans son époque, ce qui n'est pas forcément pour me déplaire, et nous font directement...
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Glengarry s'est fait connaître au théâtre avant de passer au grand écran où le travail de David Mamet s'est trouvé magnifié par une réécriture qui sonnait juste. Je ne peux donc pas râler comme d'habitude que je ne vois pas l'intérêt de filmer du théâtre de manière littérale comme le fait ici Foley. Du reste, il apporte à l'œuvre un casting épatant qui est resté dans les annales autant pour les noms qui le composent que pour l'alchimie qui les lie.
Tout de même, on touche à la limite entre théâtre et cinéma et la vocation de ce transfert d'un art à l'autre est difficilement explicable autrement que par le geste marketing. Le septième art permet en théorie des secondes chances que la scène ne peut pas se permettre, mais où passent-elles sinon dans le bourrage des dialogues dans des images qui étouffent ? Le texte, voilà le petit noyau noble emballé dans un grand et joli paquet cadeau, histoire d'apporter Broadway dans les foyers américains. Mais en ce qui me concerne, c'est à la fois trop peu et plus qu'assez.
Créée
le 26 sept. 2020
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