La DGSE sauve le monde libre.
Godzilla est une sombre bouze américaine avec une pseudo pensé écolo ("en fait, faire des essais nucléaires à répétitions ce n'est peut être pas une bonne idée !") qui ne mérite que le mépris et l'indifférence. Le film fait même preuve d'une rare fainéantise scénaristique, pompant allégrement dans l'univers d'Alien (pour les œufs), d'E.T. (?) (Pour la séquence émotion entre Godzilla et le gentil chercheur),d'À la poursuite d'Octobre Rouge (pour la séquence des sous marins) et d'autres...
Le voile pudique de mon indifférence cachera parfaitement les incohérences de plans ou de scénario pour laisser la place au vrai héros du film, celui qui le fait passer de navet innommable à souvenir rigolo: Jean Réno. Avec la touche frenchie déconne rajouté au film, cliché à souhait mais marrant, Godzilla se hisse péniblement sur la marche des films gentiment cons.
Bref, vive la France.