Love on the beat
À l'instar de David Bowie déclarant ne pas faire du rock mais s'en servir, Peter Greenaway utilise le cinéma comme un excipient. Architectural et graphique, son principe actif baroque et bavard prend...
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le 25 sept. 2014
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Ce type de cinéma ne me parle absolument pas.
Au bout de 20 minutes je n'en pouvais déjà plus. Ce fut une véritable torture.
Si j''avais été seul je pense que j'aurais quitté la salle au bout de 30 minutes.
Tout est fait pour mettre le spectateur mal à l'aise : les surimpressions, la musique baroque, le plateau tournant, les costumes, l'avalanche de chair peu esthétique, les couleurs, la diction du narrateur, le mélange entre réalité et fiction, les histoires qui s'imbriquent à l'infini...
On ne comprend plus rien, on est dérouté, je pense que c'est volontaire de la part de Greenaway.
Alors comme toujours dans ce type d'oeuvre, on a le choix de penser soit qu'il s'agit d'un chef d'oeuvre et que si on n'aime pas c'est qu'on est un ignare total, soit qu'il s'agit d'un gros foutage de gueule et que si on n'aime c'est juste pour faire genre.
Personnellement je pense qu'il s'agit d'un univers particulier qui ne me convient pas.
Créée
le 6 avr. 2020
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le 25 sept. 2014
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