Malgré mon aversion contre les films de samouraïs, j’ai tenté de voir celui-ci dont beaucoup font l’éloge ici et ailleurs.
J’ai été d’emblée subjugué par la qualité de la photographie de Miyajima Yoshio, mais je me suis très rapidement lassé des discours de mercenaires sans solde. J’abandonne après le harakiri non conforme aux règles de Motome Chijiwa [32’04].
Je retiens une chose : en temps de paix, un samouraï devient un chômeur et est tenté par le suicide. Bien qu’abandonné depuis 1868, le seppuku fut pratiqués par les soldats japonais durant le Seconde Guerre mondiale.