Hatch - Protection rapprochée
Pour l’anecdote c’est techniquement le premier film de JCVD que je visionne (Je ne prends pas en compte ‘’Les Sacrifiés 2 : De retour au combat’’ où il incarne l’antagoniste.).
Russell Hatch (Jean-Claude Van Damme) est un agent d’Interpol qui suite à la mort de l’une de ces informatrices, il se retrouve tuteur de Jayden le fils de cette dernière. Deux ans plus tard alors qu’une guerre de gang entre les coréens et les russes fait rage, Hatch se voit obliger d’y intervenir pour protéger son fils adoptif.
Je dois admettre honteusement que la filmographie de JCVD met inconnu. Il est certes une figure culte des films d’actions des années 80-90 (Surtout dans le milieu des ‘’ direct-to-video’’.), mais personnellement son charisme et sa prestance n’ont jamais eu d’effet sur moi. Cependant en tant que cinéphile je suis assez curieux de comprendre l’engouement qu’il suscite depuis plusieurs décennies. Ce qui m’a amené à découvrir son tout dernier long-métrage en date ‘’Hatch – Protection rapprochée’’.
Certains me diront qu’il aurait mieux fallu que je commence par découvrir ces classiques comme sa franchise Kickboxer ou Bloodsport entre-autre. Je crois en effet que j’aurai sûrement dû, car le film d’aujourd’hui est des plus oubliable. D’une part chaque fibre de ce film transpire le série B c’est le moindre qu’on puisse dire.
Globalement, on a le droit à une réalisation sans âme qui abuse des clichés du polar noir, un protagoniste nullement charismatique et un récit inintéressant au possible. On pourrait s’attendre à ce que JCVD s’illustre du côté des séquences d’actions, or nullement c’est totalement moue de ce côté-là aussi. Après peut-être que les fans de JCVD vont y trouver quelque chose, je ne le saurai dire en tout cas. En soi, il n’y a pas grande chose à retenir ici. Ceci étant dit, ça se laisse un minimum regarder comme visionnage d’un dimanche après-midi pluvieux.
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