Après l'assassinat de son père et de sa belle mère, Julia, Kirsty est placé dans un centre psychiatrique dirigé par le docteur Channard. Ce dernier nourrit un vif intérêt pour la boîte qui ouvre la porte des enfers.
Il va ressusciter Julia et faire réapparaitre les cénobites.
La critique contient quelques spoilers.
"Hellraiser 2" se déroule chronologiquement dans la foulé du premier "Hellraiser" de Clive Barker.
Le film est cette fois confié à Tony Randell basé sur un scénario de Peter Atkins. L'esprit du film demeure identique au premier, à savoir un genre horrifique assez prononcé et les scènes gore les plus appuyées de la saga. On retrouve pour l'essentiel les mêmes protagonistes interprétés par les mêmes personnages.
Sur le plan du scénario, ce second opus est un peu inférieur au premier. Après quelques meurtres destinés à nous mettre l'eau à la bouche, Kirsty se retrouve dans le labyrinthe poursuivi par Julia et les cénobites pour une course folle (et un peu longue) qui la conduira au Leviathan. Le film vaut surtout par les séquences sanglantes (scène du "matelas" (ça gratte!), final avec la "chevauchée" du Docteur Channard transformé en cénobite ("Je préconise l'amputation et l'éviscération"...).
Les effets spéciaux paraissent aujourd'hui un peu "cheap".
La fin du film permet d'aborder très superficiellement l'origine des Cénobites (particulièrement le passé de Pinhead, capitaine dans l'armée britannique dans les années 20 qui ouvrit la "boite des enfers").
Plus critique que par le passé sur ce film que je n'avais pas regardé depuis plus de 10 ans, j'ai tout de même passé un bon moment même si "Hellraiser 2" m'a quand même fait un peu sourire surtout notamment lors de sa scène finale...
Ma note: 7/10