La première partie du film est très oppressante : et pas seulement grâce à Hugh Grand, même s’il y est pour beaucoup (il est toujours excellent quand il cabotine).
La deuxième partie, est un peu plus convenue et Heretic y suit un chemin plus grand-guignolesque (il y perd donc en crédibilité) en reprenant les codes plus habituels d’un film d’horreur comme les US en produisent à la pelle.
Mais mine de rien, sous couvert de petite série B divertissante, le réalisateur en profite pour donner une vision très critique de la religion.
Inattendu et bienvenu.