Critiques de Heureux mortels

Docteur_Jivago
7

En solitaire

Suite à la Première Guerre mondiale, Frank Gibbons retrouve sa famille et emménage dans la banlieue de Londres. David Lean propose un portrait de cette famille durant tout le temps de...

le 3 mai 2015

17 j'aime

2

guyness
8

L'époque d'avant l'épique

Avant de jeter dans l'épique, David Lean a, comme il se doit, fait ses classes. Au cours des années 40, il est d'abord un monteur expérimenté qui ne tarde pas à travailler sur les films de Powell et...

le 18 janv. 2012

15 j'aime

4

JeanG55
8

Le bonheur tranquille

"Heureux Mortels" est la première réalisation de David Lean. Jusqu'alors il avait été monteur ou avait co-réalisé notamment avec Noël Coward, auteur et scénariste, bien plus célèbre que lui...

le 19 juil. 2021

7 j'aime

5

XipeTotec
7

Critique de par XipeTotec

On pouvait s'attendre de la part de Lean à une conduite plus épique d'un sujet taillé pour lui, mais il faut se souvenir frappé d'admiration qu'il est parvenu à raconter cette histoire en 1944, ce...

le 26 févr. 2023

Caine78
5

Critique de par Caine78

Première réalisation solo de David Lean, « Heureux mortels » montre encore une influence très importante du scénariste britannique Noël Coward, avec lequel il avait réalisé en 1942 « Ceux qui servent...

le 4 avr. 2018

Tinou
5

Critique de par Tinou

Pour son premier long-métrage réalisé en solo, David Lean signe un portrait d'une famille anglaise assez froid et ennuyeux. Il ne parvient pas à rendre ses personnages attachants malgré l'importance...

le 30 juil. 2014

YgorParizel
8

Critique de par Ygor Parizel

Très bon moment cinéma passé devant ce portrait de famille. La bonne qualité de l'image en couleur est agréable et la réalisation de Lean également, j'adore en particulier ses travelling. L'histoire...

le 8 sept. 2013

Maqroll
4

Critique de par Maqroll

Pour son premier film en solo (Ceux qui servent en mer était co-signé par Noel Coward), David Lean se lance sur les traces de Frank Lloyd et de son Cavalcade à travers l’exposé de l’entre deux...

le 11 juil. 2013