S'inspirant très fortement, pour être gentil, de la saga "La malédiction" et malgré le fait qu'il ne soit pas désagréable à regarder, cet Holocaust 2000 à malheureusement la subtilité de JCVD se rendant à un congrès de philosophie. Tout est absolument prévisible à tel point que si le réalisateur avait décidé d'afficher tout le long du métrage des panneaux indiquant qui est l'antéchrist, que cette scène n'est qu'une fausse piste, etc... que le film n'en serait pas plus mauvais.
Heureusement, le film est sauvé du naufrage par le fait qu'il préfère miser sur l'ambiance plutôt que sur des effets spéciaux ce qui fait que le film résiste plutôt bien au temps à l'exception de la salle de l'ordinateur qui fait vraiment pauvre à tel point qu'il semblerait que le sol soit recouvert d'un drap bleu.
Pour le reste, la musique de Ennio Morricone n'est qu'une musique d'ambiance et donc très loin de ses meilleures compositions et le film montre à certains moments à quel point Michael ressemble à son père Kirk.