Madame Irma et ses boules
Après La garçonnière, j’ai décidé de me repasser Irma la douce, non par parce que j’avais peur de l’avoir sous-évalué comme le premier, mais parce que j’avais le souvenir d’un moment bien...
Par
le 10 nov. 2012
31 j'aime
4
Voir le film
Dans un châtelet en carton pâte, des prostituées maquillées comme des pâtisseries travaillent avec joie pour pouvoir entretenir leurs macs.
Le conte de l’officier qui tombe amoureux de la pauvresse et la sauve de ses vices en faisant d’elle une épouse et une mère.
Créée
le 23 juin 2021
Critique lue 41 fois
D'autres avis sur Irma la Douce
Après La garçonnière, j’ai décidé de me repasser Irma la douce, non par parce que j’avais peur de l’avoir sous-évalué comme le premier, mais parce que j’avais le souvenir d’un moment bien...
Par
le 10 nov. 2012
31 j'aime
4
C'est dans un quartier des Halles de studio d'un technicolor éclatant, dans une reproduction de Paris revue et corrigée par Hollywood, que Billy Wilder nous invite en compagnie du toujours épatant...
Par
le 4 sept. 2021
17 j'aime
2
Dans un Paris de carte postale (quel bonheur de revoir les Halles de Baltard avant qu'elles ne soient massacrées par Pompidou !), Irma la douce vend ses charmes recouverts de merveilleux bas verts et...
le 29 oct. 2013
14 j'aime
Du même critique
Malgré un merveilleux duo, Jack Lemmon candide à souhait, Walter Matthau en ordure attachante. Une idée originale bien trouvée et un environnement riche: le footballeur qui fait la nounou, l’ex-femme...
le 14 mai 2021
1 j'aime
Peut-être l’œuvre la plus cynique de Wilder dont tous les personnages semblent désabusés. Et malgré quelques bonnes réparties « J’ai beaucoup menti dans ma vie. J’ai menti à des gens qui portaient...
le 23 juin 2021
Moins de 10 ans après la fin de la guerre, Wilder réussit avec finesse nous faire rire et nous surprendre dans ce huis-clos sans compromis où même le héros n’est pas complètement blanc. Une belle...
le 23 juin 2021