Loin des codes des films de combat brutaux, Iron Claw joue avec les codes de la virilité, de la famille traditionnelle américaine, du mythe du self-made man, de la quête d'individualité, du rapport au corps masculin, ainsi plusieurs de niveaux de lecture nous sont proposés. La performance d'Efron est remarquable de détresse et de sincérité et celle de McCallany vibrante de violence rentrée et d'intransigeance paternelle. On y trouve de la poésie aussi bien que de la brutalité dans un équilibre qui ne tient qu'à un fil.