D’un argument fantastique qui peut laisser un peu dubitatif (une main coupée s’anime comme un être vivant, et se met à la recherche de son corps), Jérémy Clapin élabore une matière filmique insolite, qui oscille entre le drame délicat et les enjeux d’une mise en scène qui se veut astucieuse sans être tape-à-l’oeil (les plans embarqués à « hauteur de main »). Mais J’ai perdu mon corps est surtout un thriller de l’intimité très efficace.
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