Schwartzy est vraiment très bon quand il s’agit de se prendre au second degré, mais là, je suis désolé, c’est juste vraiment grotesque. L’idée de transposer l’homme et ses codes virils dans une situation de femme est en soi intéressante, mais le film y oppose une bien-pensance américaine qui stérilise tout dès le début. Au final, on se limite tellement qu’à quelques aspects de surface qu’en fin de compte la dynamique tourne un petit peu à vide… Pire encore, le traitement conventionnel d'un tel sujet finit même pas rendre le résultat presque malsain...