Certains l'ont comparé à American Psycho, d'autres au Loup de Wallstreet. Certains l'ont trouvé agaçant, verbeux et déjà vu, d'autres on adoré son côté méchant, pervers et incorrect. C'est entre les deux en réalité car si on n'aime pas ces personnages narcissiques qui s'adressent frontalement au spectateur pour lui raconter sa vie de sadique toxico en mal de reconnaissance sur du Radiohead, on peut aimer être plongé dans l'univers de l'industrie du disque d'avant YT et le streaming quand il fallait envoyer une démo ou faire un live dans 1 café concert pour se faire repérer par un directeur artistique de chez Virgin ou EMI.
Et puis 1 film dans la BO duquel on retrouve Blur et où l'on cite Conan le barbare ne peut pas être si mauvais.