Ca commençait pas trop mal...
Passé le choc linguistique (le camp romain sonne un comme un camp de GI en Afghanistan), The Eagle se laisse regarder gentiment. Des moments de bravoures empruntés à Braveheart, des esclaves gentils façon Gladiators, des courses dans les bois comme dans Le dernier des Mohicans, tout l'attirail popcorn est présent pour passer un bon moment. Dommage que la fin du film pousse le curseur un peu loin dans le mélodrama-code-d'honneur jusqu'au moindre dialogue.
Funfact : Le "prince phoque" tête rasée avec une grande natte et tout peint de boue, c'est Tahar Rahim. Ca m'a super intrigué pendant tout le film ce visage familier avant d'aller regarder sur Wikipedia...