<< Quatre escabeaux sont plus pratiques qu'une échelle sans barreaux >>
@Confucius, un jour de grosse fatigue.
Or donc, ce film aborde.... Tout plein de sujet ! En fait, nous ne savons pas trop lequel. Gageons le trauma du vietnam, la violence de la guerre, beaucoup de choses en rapport...
Le scénariste a bien un sujet - encore faut-il réellement adhérer à l'idée que des théories conspiros peuvent être un "sujet". Dans le fond oui, mais ici, les scénaristes bricolent et s'en servent finalement pour un mixage entre le désarroi de la guerre, le pataud, euh patho de la guerre et donc cette pseudo théorie, cette dernière n'étant d'ailleurs pas le fruit d'une longue et haletante intrigue, mais réglée dans le plus pur style grecque.
Même en 1990, une telle utilisation de ce coup de pouce scénaristique fait peur...
Les acteurs sont bien présents (même si j'ai trouvé les hommes en noir un peu ridicule), et les scénaristes nous baladent astucieusement - excellent travail, amha, je dirais presque un modèle du genre, malheureusement, le propos est vide, d'autant que d'autres films bien pus décalés et rentre-dedans ont été faits auparavant.
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