Régression sociale
Le Sud, l'esclavagisme, l'amour, Clark Gable... difficile de ne pas penser à Autant en Emporte le vent lorsqu'on s'intéresse à L'esclave Libre de Raoul Walsh. C'est au cœur de la guerre de Sécession...
le 9 nov. 2016
21 j'aime
6
Même si ça n'est pas forcément le genre de films d'aventures que je préfère, "L'Esclave libre" n'en est pas moins remarquable, une des nombreuses grandes réussites de l'immense Raoul Walsh. Les couleurs sont superbes (euphémisme), la mise en scène flamboyante et le message anti-esclavage étonnamment subtil et fort, porté par un scénario excellemment construit. Clark Gable n'est pas forcément mon acteur de prédilection, mais il a beaucoup de présence, qui n'a d'égale ici que la beauté d'Yvonne De Carlo. Brillant.
Créée
le 13 nov. 2017
Critique lue 306 fois
1 j'aime
D'autres avis sur L'Esclave libre
Le Sud, l'esclavagisme, l'amour, Clark Gable... difficile de ne pas penser à Autant en Emporte le vent lorsqu'on s'intéresse à L'esclave Libre de Raoul Walsh. C'est au cœur de la guerre de Sécession...
le 9 nov. 2016
21 j'aime
6
Dans la liste des héroïnes métissées du cinéma d'antan, on trouve la belle et digne Amantha Starr, qui se découvre des origines à demi noire le jour de la mort de son riche père. Problème :...
Par
le 28 mai 2015
7 j'aime
10
A la mort de son père, un riche planteur du Kentucky, Amantha Starr interrompt ses études pour regagner le domaine familial. Elle découvre que sa mère était une esclave noire et que la plantation,...
le 19 juil. 2017
5 j'aime
Du même critique
Thierry de Peretti est un réalisateur doté d'une bonne réputation, notamment grâce à « Une vie violente », particulièrement apprécié à sa sortie. J'y allais donc plutôt confiant, d'autant que le...
Par
le 20 août 2022
32 j'aime
8
Cinq ans d'attente, avant que la crise sanitaire prolonge d'une nouvelle année et demie la sortie de ce 25ème opus, accentuant une attente déjà immense due, bien sûr, à la dernière de Daniel Craig...
Par
le 7 nov. 2021
29 j'aime
31
Je le sentais bien, pourtant. Même si je n'avais pas aimé « Momo », adapté du même Sébastien Thiéry, cela avait l'air à la fois provocateur et percutant, graveleux et incisif, original et décalé,...
Par
le 25 sept. 2021
25 j'aime