Tout ce que je connaissais de ce film : c’est l’image du baiser avec une pâte entre les deux personnages du titre. Il m’a fait penser à « La mouette et le chat », le doublage français y est pour quelque chose puisque c’était le doublage de 1997 que je suis tombé : casting de malade, avec Michel Papineschi en maître de Lady, Guillaume Lebon pour doubler Clochard. On note que dans « La mouette et le chat » doublé en 1998, Michel Papineschi double le propriétaire d’un chat et Guillaume Lebon, le chat qui est le héros du titre.
Ma note de 8 vient sans doute aussi du doublage que j’ai adoré qui est un pur bonheur et même pour quatre répliques tu as le regretté Marc Alfos, deux répliques pour le regretté Jacques Frantz.
Mais cas particulier dans « La belle et le clochard », il n’y a pas de vrai méchant, ainsi la tante qui rejette Lady et ceux qui kidnappent les chiens et les mettent à la fourrière mais aucun ne viendra perturber longuement le récit. « La belle et le clochard » : ce sont des chiens vraiment mignons, un graphisme très travaillé avec plein de petits détails, qui donne pas du tout le sentiment qu’il remonte à 1955 ! En plus l’histoire d’amour est vraiment très sympa et le Clochard donne un regard très réaliste sur la façon dont les humains maltraitent les animaux. Même si la fin me dérange un peu,
car Clochard qui se refusait à être un chien domestique en devient finalement un…