Critiques de La Bête

Sergent_Pepper
8

A mystery of violence

Alors que Patrick Chiha s’y était déjà essayé il a quelques mois avec La Bête dans la Jungle, Bonello offre aujourd’hui sa propre itération du court roman d’Henry James. Les deux cinéastes ont en...

le 13 févr. 2024

49 j'aime

4

mymp
2

Un Bonello et au dodo

Il existe parfois ce qu’on appelle des films-énigmes (L'année dernière à Marienbad), des œuvres spirales (Mulholland Drive), des expériences trou noir (Under the skin) qui, et vous ne savez pas...

Par

le 2 févr. 2024

27 j'aime

2

Plume231
5

Les Temps d'aimer et les Temps de mourir !

J'ignore si un réalisateur avait eu l'idée auparavant ou non de mettre un QR code pour figurer le générique de fin. En tous les cas, si on doit cela à Bertrand Bonello, chapeau. Je regrette le fait...

le 14 févr. 2024

18 j'aime

5

VacherinProd
10

It's only Her end of the love

J’avais exprimé avec Conann l’année dernière, à quel point il peut être ardu de parler en bon et dû forme d’un long-métrage qui m’a autant marqué au fer rouge. D’autant plus pour un metteur en scène...

le 7 févr. 2024

18 j'aime

12

Fleming
8

Un monde où il faut être purifié de tout affect ou émotion pour accéder à un emploi

L'histoire est construite de telle façon qu'on met pas mal de temps à s'y retrouver, si on n'a pas lu attentivement le pitch de sa fiche technique. Je ne l'avais pas fait et à première vision du...

le 14 févr. 2024

10 j'aime

14

Cinephile-doux
5

Au futur antérieur

Il est curieux de voir, à seulement quelques mois d'intervalle, deux adaptations de La bête dans la jungle, la nouvelle de Henry James. Celle de Patric Chiha était déjà très libre, et conceptuelle,...

le 8 oct. 2023

7 j'aime

Bouffe_Chiasse
9

La Bête ou la crise des sentiments

La Bête de Bonello est une œuvre complexe et cryptique parce qu'il y a chez Bonello, même si je n'ai vu que Nocturama, l’idée de construire une ambiance, une atmosphère, ou quelque chose de cet...

le 9 févr. 2024

2 j'aime

Radiohead
6

Un labyrinthe formel et narratif

De la volupté des années "Belle Époque" au vide d’un futur dystopique, Bertrand Bonello signe ici un film de science-fiction comme un labyrinthe sur la rétention du désir, porté par une Léa Seydoux...

le 9 févr. 2024

2 j'aime

RobinTholet
5

La bête sans chair

Il est parfois étrangement tentant de se mettre à rêver que David Lynch n'eut jamais existé. Il aurait évité pléthore d'ersatz dévitalisés, mais plus encore à des cinéastes à la patte très marquée de...

le 18 mars 2024

1 j'aime

Virgule1
9

Devenir gris ?

Dans le cinéma de genre français, La Bête est un bousculement par la subtilité de son dispositif. Bertrand Bonello lacère, mais non parce qu'il brutalise son image ou son public, non parce qu'il en...

le 26 févr. 2024

1 j'aime