Dernier film du grand Walsh, la Charge de la 8e brigade sent pas mal le sapin. La faute principalement aux acteurs incapables de s'en sortir dès que les dialogues durent plus de trente secondes, vraiment gênant. Par contre, en ce qui concerne les scènes d'action, l'ancêtre fait encore des miracles.
Film pro-indiens, époque oblige, la singularité de ce western tient dans la psychologie du personnage principal (incarné par le plus mauvais acteur de l'histoire, enfin si on peut appeler cette chose boursouflée un acteur) : à la fois un dingue de la discipline et un défenseur des Indiens. D'habitude, c'est plutôt fromage et dessert.