Chef d'oeuvre du péplum d'A Mann avec S Loren, A Guinness, C Plummer, O Sharif, S Boyd. Gladiator !

Passé le thriller sulfureux « Monsieur Klein » avec l’énigmatique Alain Delon dans certainement son plus beau rôle, l’acteur-star passe de nouveau au premier plan pour le thriller politique « Mort d’un pourri » ou le polar « Trois hommes à abattre ». Il passe ensuite à la réalisation en 1981 avec « Pour la peau d’un flic » en mettant en scène Anne Parillaud qui va voir sa carrière décoller. Sa seconde réalisation, « Le battant », est composée au casting de sa femme à la ville comme à l’écran (Parillaud). Delon joue ensuite pour Schlöndorff dans le drame historique « Un amour de Swann ».

En 1984, la même année, sort sur les écran « Notre histoire », un film mis en en scène par le réalisateur de « Buffet froid ».

Il s’agit du deuxième film de Bertrand Blier que je vois après « Les valseuses ». Avec une histoire totalement extravagante qu’elle en devient attach(i)ante grâce notamment à une bonne dose de dialogues savoureux, Alain Delon (vu deux ans auparavant aux côtés de Deneuve dans « Le choc ». Il retrouvera l’artiste Blier pour « Les acteurs » en 2000), entouré d’une pléiade de seconds couteaux (Nathalie Baye, Darmon, Darroussin, Galabru, Lindon, Stévenin, Jean Reno, Bernard Farcy, Ginette Garcin), ici désemparé, désabusé et tourmenté, ne croît lui non plus pas à son rôle, ce qui lui a quand même permis de décrocher l’unique César de son immense carrière : étrange, non ? « Notre histoire », c’est finalement un drame humain à la Bertrand Blier avec Alain Delon. Etonnamment. Uniquement et seulement. 4/10.

Ainsi se clôt mon cycle Delon, tout comme sa carrière. L’énigmatique « Dancing machine » en 1990 ravive une flamme qui s’éteint, l’excellente comédie policière « 1 chance sur 2 » fait revivre le duo Bébel-Delon des 70’s, et la série « Fabio Montale » (pourtant véritable succès télévisuel en 2001) sonne le glas pour notre dernier monstre sacré qui s’autoparodie avec maestria dans le rôle de Jules César pour « Astérix aux jeux olympiques ».

Mes hommages à la famille Delon qui saura honorer la mémoire de notre dernier monstre sacré national, je l’espère, dans les années à venir. Monsieur Alain Delon, reposez en paix.



En ce 31/10/2024, pour la véritable soirée Halloween de l’année, j’ai visionné deux adaptations de nouvelles du maître littéraire contemporain de l’horreur (Stephen King) :

- « Les démons du maïs », version 1984, est assez réussi avec la toute jeune Linda Hamilton et une belle petite musique orchestrale d’ambiance portée sur l’atmosphère d’épouvante, avec malgré tout une mise en scène assez stéréotypée. Note actuelle : 6 sur 10.

- « La créature du cimetière », sorti en 1991 en salles, somme tout distrayant, ne compatit d’aucune réalisation, d’effets spéciaux, d’histoire ou de rebondissements, l’on est plongé dans les égouts tout du long (!) avec tout de même un Brad Dourif super en exterminateur ...une créature qu’on ne voit quasi jamais ...et une séquence finale jouissive à souhait. Note : 4 sur 10.



J’en arrive à mon cycle Nicolas Cage de novembre dans lequel j’ai immiscé quelques films avec David Morse.

Une concentration hollywoodienne de stars (Willis, Connery, Travolta, Samuel L. Jackson, Sinise, Slater…) comme je les aime pour une check-list armée au gros calibre (« L’armée des 12 singes », « Rock », « Volte face », « Négociateur », « Snake eyes », « La ligne verte », « Windtalkers ») : c’est toujours un plaisir immense que de visionner des métrages de ce gabarit. Surtout, et surtout grâce à !, ce Nicolaaaaaaaaaaas… Cage ! Ow !


Entre « Rock » et « Volte face », en ce 11/11/24, je suis allé au cinéma découvrir le dernier Eastwood (que j’attendais déjà depuis quelque temps !), « Juré n°2 », qui questionne sur la morale, la justice, la culpabilité, la présomption d’innocence… autant de thèmes eastwoodiens chers au metteur en scène de « Jugé coupable », « Les pleins pouvoirs » ou « L’échange ». Un grand cru de l’année, assurément !, qui ne manque pas de piquant et qui assène ces quatre vérités salutaires au spectateur lambda façonné et admirablement filmé à hauteur d’hommes par le dernier des géants, le cinéaste Clint Eastwood (« Josey Wales », « Sur la route de Madison », « Million dollar baby »…) qui nous fait ...encore et encore... sa leçon de cinéma ! Pour Eastwood, avouons !



Passé mon cycle Nicolas Cage/David Morse, voici que se profile ma véritable soirée d’Halloween, ma soirée spéciale Horreur avec le visionnage de « Creepshow », véritable ovni cinématographique dans le paysage du cinéma puisqu’il s’agit du premier spectacle orchestré par la rencontre (et pas l’unique !) entre le maître littéraire de l’horreur et l’inventeur du cinéma horrifique expérimental, soit respectivement le romancier à succès Stephen King et le metteur en scène de la ‘saga des Zombies’ George A. Romero.


Ici, d’emblée, il faut que je vous avoue une chose, chers spectateurs.

Je n’ai jamais lu un livre de Stephen King. Ce n’est pas l’envie qui me manque, juste sans doute de passer le pas. J’en ai pourtant deux dans ma bibliothèque : « Les langoliers » et « Billy Summers ». Je vais sans doute adorer, moi qui adore les histoires de Grangé ou de John Grisham, mais je bute encore dessus. Oui, je sais, c’est un auteur et un écrivain de renom, il faut que je m’attelle à l’un de ses écrits. Je le ferai en temps voulu, soyez en assuré !


Je n’ai finalement pas pu visionner « Creepshow », je me suis rabattu sur « La malédiction », le premier du nom de 1976.

Totalement incritiquable aujourd’hui de ma part, je ne parviens à le retranscrire que par les mots suivants. Terrifiant de part en part, un excellent film d’épouvante, l’un des trois meilleurs avec « Shining » et « L’exorciste ». Un pur chef d’œuvre du genre, à s’en glacer le sang !

Il me faudrait un second visionnage pour avoir un point de vue plus éclairé.



J’en arrive à mon cycle AventureS pour les fêtes de fin d’année.

Le tremplin 2024-2025 va être assuré par des films se basant sur des personnages historiques, des faits historiques et des lieux qui ont marqué l’H(h)istoire du monde. Péplums, films de guerre et films historiques vont passer devant mes yeux et sous ma plume.

Vous l’avez compris, je suis allé voir « Gladiator 2 » au cinéma en novembre (j’en ai été majoritairement déçu sauf par le mangeur d’espace et d’écran Denzel Washington et la maestria coutumière du spectaculaire filmé par le papa d’Alien) et j’ai un besoin de me rassurer avec une liste que j’ai concocté pour ces fêtes de fin d’année : « La chute de l’empire romain », « Gladiator » (critique déjà en ligne), « Robin des bois » (la version de Ridley Scott que je n’ai encore pas vu), « 1492, Christophe Colomb » (déjà analysé), « The patriot » (déjà critiqué) et « Lincoln » (que je vais regarder pour la deuxième fois, critique en ligne).


En ce 17/12/2024, je commence donc par le visionnage de « La Chute de l’empire romain ».


Considéré comme l’un des derniers péplums de l’âge d’or hollywoodien (avec « Spartacus » et « Cléopâtre ») et durant la période italienne des ‘Hercules’ et consorts (entre 1950 et quasiment 1970), ce film de commande, qui fut le second métrage pharaonique entrepris après « Le cid » pour le réalisateur américain Anthony Mann, a été un échec cuisant au box-office qui ruina la société de production de Samuel Bronston (notamment producteur du « Roi des rois », « Le plus grand cirque du monde » au mitan des 60’s, et de « Fort Saganne » en 1983).

Echec pharamineux malgré le Golden Globe de la meilleure musique pour Dimitri Tiomkin en 1965.

Un film devenu culte avec le temps dont je vais vous expliquer les rouages, ô césars des césars… !


Synopsis : en l’an 180, les troupes romaines dirigés par l’empereur Marc-Aurèle se battent aux frontières du Danube pour conquérir la Germanie. Sentant sa fin arrivé, l’empereur décide de nommer Livius, fiancé à sa fille Lucilla, à la place de son fils Commodus. Se sentant trahi, Commodus organise un parricide pour succéder à son père qui avait réussi à sauvegarder la paix romaine.


Sous cet apparat qui aurait pu être un film somme tout classique, le générique d’intro en tableaux antiques fait place nette de tout compromis.

Cette prédisposition en chapitres de la part d’Anthony Mann préfigure aisément un emballement facile et continu de l’histoire alors qu’une narration va se mettre en place. Le directeur de casting pour Hitchcock sur son premier film américain (« Rebecca », l’adaptation du célèbre roman de Daphné du Maurier) nous prend à contre-pied et c’est avec un net plaisir que l’on est entraîné dans ces aventures.


C’est donc avec cette narration linéaire qui suit le fil de l’histoire qui nous est contée.

Le scénario bien armé de la part de Ben Barzman, Basilio Franchina et Philip Yordan (tous les trois auteurs-partenaires habituels du réalisateur qui ont respectivement travaillé sur « Le cid », « La chute... », « L’homme de la plaine ») pose ainsi les bases, le ciment et les fondations du film.

Tout d’abord, la présentation d’un César malade en dit long sur la fresque qu’Anthony Mann -réalisateur renvoyé par la star Kirk Douglas du tournage de « Spartacus »- met en scène.

Egalement, la présentation des états de l’empire nous permet de nous immerger complètement dans l’importance cruciale des alliés et des ennemis de l’Empire de Rome.

De même, la fin de l’Empire romain par la mort de Marc-Aurèle entraîne des conséquences géopolitiques majeures (obligations d’arrangement, de mariages) : l’Empire se déconstruit pour refaçonner le puzzle politique et étatique.

De ces trois piliers scénaristiques façonnés dans la pierre du Colisée de Rome, le montage (de Robert Lawrence, nommé à l’Oscar du meilleur montage pour « Spartacus » !) filmique ne pâtit d’aucune longueur et d’aucun manque de rythme, même aujourd’hui, en 2024 !

« La chute... » est ici garant d’une ossature scénaristique et d’une écriture filmique extrêmement bien mises en avant par le réalisateur du « Cid ».


Amour, mort, complot, trahison… autant de thèmes qui prennent sens dans cette épopée guerrière (le destin d’un Empire déchu) qui n’en est finalement pas une.

En ce sens, la première petite bataille entre Commodus et Livius (petite course de chars entre forêts, précipices et ruisseaux), impressionnante de réalisme (une très belle séquence emballante et trébuchante à souhait), permet de nous immerger et de nous entraîner dans la folle virée de ces deux frères d’armes.

Les scènes de batailles, non chorégraphiées, sont davantage filmées en plan d’ensemble sans de réels duels d’épée hollywoodiens -devenu les standards des années 2000 (je pense ici bien sûr à « La chair et le sang », « Gladiator », « Benedetta »).

Il s’agit donc d’une fresque (picaresque) anti-guerrière car dénuée de scènes de combats et davantage centrée sur les événements impériaux : c’est le deuxième antagonisme que je relève de la part du réalisateur Anthony Mann.

C’en devient une tragédie lyrique qui prend elle aussi tout son sens grâce à une très belle reconstitution de la Rome antique.

Les romains sont romains (!) de la tête au pieds : casques, glaives et épées sont de la partie (les costumes sont très beaux et les décors très bien illuminés) contribuant à cette magnificence des décors (le directeur artistique, John Moore, a travaillé sur trois autres reconstitutions historiques, et pas des moindres : « L’adieu aux armes » de Vidor, « Le cid » et « Les 55 jours de Pékin »).

La grandiloquence des décors ainsi que la magnificence du spectacle est orchestré par le réalisateur des « Héros de Télémark ».

Le spectacle grandiloquent sur la déchirure d’un empire basée sur la magnificence des décors et costumes auquel on assiste est encore un antagonisme que je relève de la part d’Anthony Mann.

Au profit de scènes de batailles qui auraient pu nous galvaniser, le film se concentre davantage sur la richesse des décors, des paysages et des ors de la République de Rome.

Même si le divertissement reste un brin académique, il peut se targuer de se regarder allégrement bien : les trois heures du métrage ne se voient pas passer ! L’on assiste à un spectacle total et galvanisant malgré la quasi-absence de scènes de guerre. Merci Monsieur le réalisateur !


A partir de ce constat, quelles sont les questions que je peux me poser ? Les séquences frappantes ? Oui, mon général !

La lente et pourtant rapide descente de Marc-Aurèle dans son cercueil en clair obscur ainsi que son inhumation dans un vent neigeux sombre et pourtant illuminatif, la première acclamation de Commodus en César des rues au palais de Rome impérial, et le duel final harassant et hargneux entre Livius et Commodus.

De ces trois séquences, poignantes et totalement massacrantes, je peux relever le travail sur la photographie (de Robert Krasker -oscarisé pour la mise en lumière du « Troisième homme ») impeccable passant des ténèbres (la mort de César) aux illuminations du palais de l’empereur : encore une opposition de style de la part du metteur en scène de « Dr Broadway » (son premier long-métrage).

Monsieur Mann, rendons à César ce qui est à César… !


Pour parler musique, elle est dirigée par l’inconditionnel Dimitri Tiomkin (« Mr Smith au sénat », « Le train sifflera trois fois », « Géant », « Le vieil homme et la mer », « Alamo »…) qui la rend discrète mais tellement importante qu’elle prend l’ampleur des aventures en se calant sur les rebondissements sinueux et tortueux de l’histoire. Une bande-son qui donne dans le bon ton, non désuète et qui possède du ...veni, vidi, vici !


Le spectacle orchestré par Anthony Mann, le réalisateur de « L’homme de l’Ouest », est doté d’une distribution internationale.

Dans le rôle de Marc-Aurèle, Alec Guinness (qui porte quelques pépites du septième art dans sa riche et prolifique carrière : « Noblesse oblige », « Le pont de la rivière Kwaï », « Le docteur Jivago », la première trilogie des « Star wars ») est impérial à souhait. Quel ‘roi des rois’ !

En Commodus sanguinaire et violent, le fils de Marc-Aurèle est incarné par un Christopher Plummer (s’il débute au cinéma dans « La forêt interdite » de Nicholas Ray, il jouera par la suite dans des films qui deviendront des classiques : « La nuit des généraux », « L’homme qui voulut être roi », « L’armée des 12 singes », « Le nouveau monde »…) habité par son rôle. Clivant, enragé, et terriblement romain.

En Livius, le fils adoptif de l’empereur, c’est un Stephen Boyd (l’habitué du péplum des 60’s : « Ben-Hur », « Genghis Khan », « La bible ») impeccable à souhait qu’on retrouve.

Concernant Lucilla, la fille d’Alec ‘César’ Guinness, Sophia Loren (star qu’on ne présente plus : « L’or de Naples » de De Sica, « La fille du fleuve » de Mario Soldati, « La paysanne aux pieds nus », « Une journée particulière », « Nine ») est d’une beauté divine à refroidir les morts !

Omar Sharif (« Ciel d’enfer » de Youssef Chahine, « Lawrence d’Arabie », « Le casse » de Verneuil, « Le 13ème guerrier » pour McTiernan, « Monsieur Ibrahim et les frères du coran ») incarne un Roi d’Arménie d’une incandescence remarquable.

Quant au chef des barbares, John Ireland (acteur ‘fétiche’ du réalisateur pour avoir joué dans « L’engrenage fatal », « Marché de brutes » et « Spartacus », il a également été nommé à l’Oscar du meilleur second rôle pour « Les fous du roi » de Robert Rossen) apporte son regard glacial et sanglant.

Avec également James Mason, Mel Ferrer, Anthony Quayle, Douglas Wilmer et Michael Gwynn.

Un casting alléchant et divin qui vaut tous les alléluias du monde. Merci Anthony Mann !


Concernant la séquence finale, juste après le combat des deux frères ennemis (magnifique duel au sommet Christopher Plummer-Stephen Boyd !), elle se fait la parabole de la situation actuelle française, à savoir l’appât du gain et la richesse du pouvoir par rapport à la pauvreté du peuple.

La morale de l’histoire de « La chute... » est donc la suivante : le pouvoir, quand on a l’opportunité de l’avoir, est destructeur.

La paix romaine est à la feuille de l’olivier ce que le glaive est à César.


Pour conclure, « The Fall of the Roman Empire »(1964) restera cette superproduction ambitieuse et spectaculaire tourné (en Espagne, au nord-est de Madrid !) par Anthony Mann.

Considéré comme l’un des meilleurs péplums de tous les temps, il s’agit d’un film mythique (pour son réalisateur et pour l’ampleur de la production Bronston qui fit faillite) et d’un film anthologique (par son casting : Alec Guinness, Sophia Loren, Omar Sharif…).

Chef d’œuvre du péplum et film culte façonné par Anthony Mann (le metteur en scène du western « Winchester 73 » et du mélodrame « Romance inachevée »), l’artisan américain humaniste des 50’s-60’s.


PS : Ridley Scott s’inspirera grandement de « La chute... » pour son « Gladiator » de part des angles de vue historiques dictés par Anthony Mann, certaines scènes et certains personnages.

D’autant que Richard Harris, initialement prévu dans le rôle de Commodus dans « La chute... » jouera dans « Gladiator » le père de Joaquin Phoenix (Commodus) !


Spectateurs romains, si vous croisez le fer avec un prétendu barbare, assurez vous d’être le meilleur… ‘gladiator’ !

brunodinah
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le 26 déc. 2024

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