Au début du 20ème siècle, un médecin tente de venir en aide à une jeune femme instable, sans savoir qu'elle est possédée par l'esprit de son père, qui n'est autre que Jack l'éventreur. "Hands of the Ripper" n'exploite pas beaucoup son potentiel de départ (le personnage de Jack l'éventreur aurait pu être remplacé par n'importe quel déséquilibré dans le scénario), mais aborde quelques idées intéressantes sur les débuts de la psychologie en Europe.
On y retrouve également de bons décors, avec notamment une scène filmée à l'intérieur de la cathédrale de St Paul, et quelques images violentes, qui témoignent de la volonté de la Hammer de répondre aux attentes des amateurs d'horreur du début des 70's. Signalons enfin un bon Eric Porter en médecin ambigu.