La Méprise
6.6
La Méprise

Film de Alan Bridges (1973)

Palme d'Or surprise du Festival de Cannes 1973, partagée avec L'épouvantail de Jerry Schatzberg, lequel est d'une toute autre trempe. Un bon film, décrivant la relation entre un chauffeur solitaire et amer et une jeune veuve, sortant de dépression, reprenant peu à peu goût à la vie. La méprise joue finement sur les clivages sociaux, observés à travers les vitres d'une Rolls (nous sommes dans les années 20). Malgré un côté compassé, le film convainc, en particulier grâce aux jeux diamétralement opposés de Robert Shaw et de l'exquise Sarah Miles. De là à mériter une Palme ...

Cinephile-doux
6
Écrit par

Créée

le 5 août 2019

Critique lue 519 fois

3 j'aime

Cinephile-doux

Écrit par

Critique lue 519 fois

3

D'autres avis sur La Méprise

La Méprise
Maqroll
8

Critique de La Méprise par Maqroll

Une palme d’or méconnue, voire oubliée, et pourtant pas vraiment usurpée… La Méprise, d’Alan Bridges, est tiré d’un roman de Leslie Poles Hartley, déjà auteur du roman qui inspira le sublime film de...

le 14 juil. 2013

4 j'aime

La Méprise
Boubakar
5

Miss Franklin avec un chauffeur.

Dans les années 1920, une jeune aristocrate sort d'une maison de repos après une dépression. Veuve, elle n'a plus que son chauffeur attitré vers qui se confier, mais ce dernier va commencer à...

le 24 avr. 2022

3 j'aime

La Méprise
Cinephile-doux
6

Le chauffeur et la veuve

Palme d'Or surprise du Festival de Cannes 1973, partagée avec L'épouvantail de Jerry Schatzberg, lequel est d'une toute autre trempe. Un bon film, décrivant la relation entre un chauffeur solitaire...

le 5 août 2019

3 j'aime

Du même critique

As Bestas
Cinephile-doux
9

La Galice jusqu'à l'hallali

Et sinon, il en pense quoi, l'office de tourisme galicien de As Bestas, dont l'action se déroule dans un petit village dépeuplé où ont choisi de s'installer un couple de Français qui se sont...

le 28 mai 2022

79 j'aime

4

France
Cinephile-doux
8

Triste et célèbre

Il est quand même drôle qu'un grand nombre des spectateurs de France ne retient du film que sa satire au vitriol (hum) des journalistes télé élevés au rang de stars et des errements des chaînes...

le 25 août 2021

79 j'aime

5

The Power of the Dog
Cinephile-doux
8

Du genre masculin

Enfin un nouveau film de Jane Campion, 12 ans après Bright Star ! La puissance et la subtilité de la réalisatrice néo-zélandaise ne se sont manifestement pas affadies avec Le pouvoir du chien, un...

le 25 sept. 2021

72 j'aime

13