Enzo G. Castellari pompe à tel point le film de Spielberg, Les dents de la mer, ainsi d’ailleurs que le deuxième opus réalisé par Jeannot Szwarc, qu’Universal intenta un procès qu’elle gagna. Cela dit, et malgré des moyens évidemment beaucoup plus faibles, le film se laisse regarder avec un certain plaisir et n’est pas si mal fichu que ça. Et, comme le dit très justement Quentin Meignant dans son article sur le site cinémafantastique.net « La Mort au Large n’est pas un bon film, c’est un mauvais film. Un mauvais film, oui, mais un bon ! Un de ceux qui fait qu’on aime le cinéma italien pour sa démesure, son absence totale de scrupule et son absolue décomplexion. »