Une grippe simienne a decimé la majeure partie de la population mondiale. Des singes vivent en autarcie jusqu’à l’irruption d’humains.
Le manichéisme qui était de rigueur dans le premier volet avec les macaques angéliques d’un côté et les humains machiavéliques de l’autre, est, ici, nuancé par le personnage de Koba qui signifie que quelle que soit l’espèce, il y aura toujours des salauds. Le métrage allie somptueusement un scénario fort industrieux, performance technologique et des héros captivants. Les dialogues recèlent de pépites misanthropiques. Bref, un blockbuster divertissant qui a un sens profond.