Les lois du direct
Avec La Vengeance d’une blonde, le petit cinéma de Jeannot Szwarc s’ouvre à la comédie populaire française et s’inscrit dans une veine portée par la troupe du Splendid et surtout mise en scène par le...
le 8 avr. 2020
1 j'aime
1
Le milieu de la radio m'a toujours plu et a donné lieu à quelques réussites, dont le très drôle « Tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil » du côté de chez nous. Dommage qu'ici, ce soit la « franchouillardise » qui soit privilégiée par Christian Clavier et Marie-Anne Chazel, d'autant que la première partie n'est pas désagréable. La transformation de l'intègre Clavier en requin des audiences, les coups bas, la course à l'audimat au détriment d'une information de qualité... Bien que seulement effleurés, au moins ces thèmes ne sont pas totalement absents, à condition toutefois d'être indulgents concernant l'indigente sous-intrigue autour de cette bande d'anarchistes d'opérette.
Mais bon, cela est tellement impersonnel et simpliste, pour ne pas dire assez fatigant au bout de la quinzième crise de nerfs des deux héros qu'on se lasse quand même assez vite, à l'image de la critique des jeux télés stupides, démarrant plutôt bien avant de tomber dans un humour assez gras, résumant plutôt bien l'impression globale laissée par le film, où la gente masculine pourra toujours se consoler avec la plastique affolante de Clémentine Célarié. Pas un supplice, mais lourd et très limité.
Créée
le 5 mai 2018
Critique lue 357 fois
2 j'aime
D'autres avis sur La Vengeance d'une blonde
Avec La Vengeance d’une blonde, le petit cinéma de Jeannot Szwarc s’ouvre à la comédie populaire française et s’inscrit dans une veine portée par la troupe du Splendid et surtout mise en scène par le...
le 8 avr. 2020
1 j'aime
1
Le récit, fastidieux, n’est pas forcément nouveau. La thématique, un brin classique, parfois calculée, pourrait rendre de marbre les inconditionnels du cinéma français. Et pourtant, à l’aube de ses...
le 19 août 2016
1 j'aime
Projet plutôt amusant que de nous dévoiler les coulisses d'une chaine de télévision, cela tourne cependant vite à la caricature facile à l'image d'un Thierry Lhermitte parfaitement façonné. La...
Par
le 9 juil. 2012
1 j'aime
Du même critique
Thierry de Peretti est un réalisateur doté d'une bonne réputation, notamment grâce à « Une vie violente », particulièrement apprécié à sa sortie. J'y allais donc plutôt confiant, d'autant que le...
Par
le 20 août 2022
32 j'aime
8
Cinq ans d'attente, avant que la crise sanitaire prolonge d'une nouvelle année et demie la sortie de ce 25ème opus, accentuant une attente déjà immense due, bien sûr, à la dernière de Daniel Craig...
Par
le 7 nov. 2021
29 j'aime
31
Je le sentais bien, pourtant. Même si je n'avais pas aimé « Momo », adapté du même Sébastien Thiéry, cela avait l'air à la fois provocateur et percutant, graveleux et incisif, original et décalé,...
Par
le 25 sept. 2021
25 j'aime