Près de sept heures de films à voir Matt Damon cavaler comme un poulet à travers tout le globe pour dénouer une intrigue téléphonée dès les premières minutes (du premier épisode)... Il faut toute l'affection qu'on peut porter à l'acteur de "Will Hunting" - ou à son personnage, Bourne ayant quelque chose de Pierre Richard, en beaucoup plus athlétique et bien moins naïf - pour arriver à tenir. Surtout avec la caméra de Paul Greengrass, qui gigote même pendant les scènes "calmes". Mais il parait que le réalisateur a un sens de l'espace unique en son genre et que, tout simplement, c'est génial. Alors, bon... Ben c'est génial, quoi.