L'armageddon sexuel
Au cas où certains se poseraient encore cette question, non le cinéma d'animation n'est pas réservé qu'aux enfants. Des tas d'œuvres significatives, qu'elles viennent de France, des USA, du Japon...
Par
le 14 juil. 2022
Si le Big Bang est visuellement plus supportable que La Honte de la Jungle et Le Chaînon manquant, je faillis encore une fois à voir ce qu'il faut y trouver. C'est beaucoup de provoc qui surnage dans du pipi-caca, et le message en est trop imbibé pour être clair au-delà de l'intro. Remarque, si je n'avais regardé que les deux premières minutes, j'aurais mis 8/10 : c'était rigolo, avec une vraie portée critique sur la Guerre froide. Mais à part l'idée de base, des références qui donnent l'impression d'avoir été placées là juste pour être dans l'air du temps (Dark Vador) et des gags bouches-trous, je n'ai pas trouvé grand-chose à me mettre sous la dent. Picha me laissera avec l'idée que les films d'animation pour adulte peuvent être plus puérils que les films pour enfants.
Créée
le 4 déc. 2022
Critique lue 29 fois
D'autres avis sur Le big bang
Au cas où certains se poseraient encore cette question, non le cinéma d'animation n'est pas réservé qu'aux enfants. Des tas d'œuvres significatives, qu'elles viennent de France, des USA, du Japon...
Par
le 14 juil. 2022
Picha c'est du plaisir coupable. C'est le dessin animé d'une époque révolue où tout était permis et l'où on ne s'embarrassait aucunement des conventions morales que l'on faisait voler en éclat...
Par
le 17 nov. 2021
Le dernier des trois Picha (heureusement pour nous) atteint le même niveau que ses deux ainés. Une fois de plus, on utilise la même recette: une cuillère d’obscénité, une louche de vulgarité, une...
Par
le 3 oct. 2018
Du même critique
Quand on m’a contacté pour me proposer de voir le film en avant-première, je suis parti avec de gros préjugés : je ne suis pas un grand fan du cinéma japonais, et encore moins de films d’horreur. En...
Par
le 26 oct. 2018
8 j'aime
(Pour un maximum d'éléments de contexte, voyez ma critique du premier tome.) Liu Cixin signe une ouverture qui a du mal à renouer avec son style, ce qui est le premier signe avant-coureur d'une...
Par
le 16 juil. 2018
8 j'aime
1
Si vous entendez dire qu'il y a Cluzet dans ce téléfilm, c'est vrai, mais attention, fiez-vous plutôt à l'affiche car son rôle n'est pas grand. L'œuvre est aussi modeste que son sujet ; Ledoyen porte...
Par
le 25 août 2018
7 j'aime
3