Un rêve d’immédiateté. C’est ce à quoi semble aspirer Le Cinquième élément, l’un des films les plus ambitieux de Luc Besson, sorti à la fin des années 1990. Une immédiateté comme un idéal, comme une utopie adolescente, où les sensations se lisent sans intermédiaire. Sans obstacle, sans questionnement, à l’image de ces longs cordons ombilicaux (tunnels de métro, conduits d’aération) dans lesquels le réalisateur fait s’engouffrer ses personnages depuis Subway, et qui constituent l’une de ses marques de fabrique.
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