Revu ce soir après des dizaines d’années, ce film reste d’une actualité extraordinaire.
Ce que je ne ressens plus aux anciens Godard ou autre de cette époque, à part Agnès Varda, je l’ai ressenti ce soir à la télévision en revoyant ce film.
Une étrange dichotomie, qui semble confuse au premier abord, prend sens au fur et à mesure que le histoires s’imbriquent les unes dans les autres, même si cela n’apparaît pas au prime abord.
Un point de détail : le texte officiel du Notre Père récité par les Carmes date de 2017, donc après 1974.
Il n’en reste pas moins que c’est un des rares films « anciens » qui supporte une vision actuelle, et qui n’a pas vieilli.