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Le Fleuve
Quel film choisir pour ma millième critique de film sur SC ? J'ai hésité entre plusieurs films que je n'ai pas encore revus et explorés. Mon choix s'est porté sur un des plus beaux films et peut-être...
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le 16 juin 2023
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Le film qui aurait dû
Le film qui aurait dû être une mélopée plaintive au fil du fleuve.
Allez, on naka faire un effort, passer outre le jeu catastrophique des acteurs (et je ne parle pas de la gueule de mouette du clône de Rick Astley), tolérer les «éléments perturbateurs» comme on ne les écrit qu'en rédaction de 4ème, et faire soi-même une trame unique (une trame de jute, comme la fabrique ou travaille le père?) de ces historiettes éparses et paresseuses : le fleuve, donc en personnage principal (le seul à bien jouer); la sociologie hindoue; une famille de cinq enfants et plein de serviteurs aimants; trois gamines amoureuses (de Rick Astley); un éclopé qui n'admet pas de l'être; un conte sur le seigneur Krishna; une Indo-britannique qui a un (vague) problème d'identité; Bogey veut jouer avec cobra; et un raton laveur (non, en fait c'est un lapin).
Alors, à la longue, on peut, un peu, un petit peu, être touché par ce film désuet, et y trouver (y imaginer?), la belle balade à la poisseuse nostalgie qu'on a attendue dès les premières images.
Allez, on naka faire un effort, passer outre le jeu catastrophique des acteurs (et je ne parle pas de la gueule de mouette du clône de Rick Astley), tolérer les «éléments perturbateurs» comme on ne les écrit qu'en rédaction de 4ème, et faire soi-même une trame unique (une trame de jute, comme la fabrique ou travaille le père?) de ces historiettes éparses et paresseuses : le fleuve, donc en personnage principal (le seul à bien jouer); la sociologie hindoue; une famille de cinq enfants et plein de serviteurs aimants; trois gamines amoureuses (de Rick Astley); un éclopé qui n'admet pas de l'être; un conte sur le seigneur Krishna; une Indo-britannique qui a un (vague) problème d'identité; Bogey veut jouer avec cobra; et un raton laveur (non, en fait c'est un lapin).
Alors, à la longue, on peut, un peu, un petit peu, être touché par ce film désuet, et y trouver (y imaginer?), la belle balade à la poisseuse nostalgie qu'on a attendue dès les premières images.
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le 28 avr. 2011
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