Après le Chef d'oeuvre Dilili à Paris, réalisé en 2018, petit bijou de grâce, poétique, d'énergie, un brin féministe, engagé, d'inventivité plastique, difficile de faire mieux!
Je suis restée sur ma faim! Montage très abrupte, manquant de finesse.
Le principe du conte narré, qui s'adresse au spectateur et brise le quatrième mur, fonctionne plutôt bien mais les trois récits présentés, un peu niais, sont difficilement reliables. Un arrière goût d'amour moralisateur, petites fables bien trop gentilles et trois "happy end" sans surprise. Le Beau Sauvage auvergnat reste cependant ma fable préférée.
Décevant: le recours au 3D!