Critiques de Le Signe du lion

Olympia
8

Lion d'or

Premier long métrage de Rohmer à la singulière beauté. Où l'on suit la déchéance sociale et physique de Pierre Wesserlin, américain oisif et dilettante, vaguement musicien, acculé par ses divers...

le 17 juin 2012

11 j'aime

12

Maqroll
10

Critique de par Maqroll

Le premier long métrage de Rohmer est déjà un chef-d’œuvre de maîtrise, de poésie, de réflexion philosophique et de cinéma tout court. Un homme, artiste bohème, perd peu à peu tout ce qui représente...

le 12 juil. 2013

6 j'aime

Fleming
7

Perte d'équilibre et dégringolade irrésistible

Filmé presque entièrement à Paris, c'est l'histoire éprouvante, presque traumatisante d'une déchéance inexorable et terriblement rapide, celle de Pierre Wesserlin (Jess Hahn), un artiste (compositeur...

le 12 juin 2019

5 j'aime

4

EricDebarnot
5

Triste héros, triste film...

De prime abord, ce premier long métrage de Rohmer n'a pas grand chose à voir avec son travail ultérieur, ni thématiquement, ni formellement. "Le Signe du Lion", avec sa conclusion mélodramatique et...

le 10 juil. 2016

5 j'aime

JanosValuska
8

Aide-toi, le ciel t’aidera.

Un matin, Pierre reçoit un télégramme lui annonçant le décès de sa tante et de ce fait apprend l’acquisition à son compte d’un héritage conséquent. Nouvelle qu’il s’empresse de partager en organisant...

le 18 déc. 2013

5 j'aime

Moizi
5

La déception

Le Signe du Lion, premier long métrage de Rohmer est loin d'être son meilleur film, c'est peut-être même celui que j'apprécie le moins. Si on retrouve déjà un petit côté « destin » il n'y a ici...

le 16 juil. 2021

4 j'aime

3

Pom_Pom_Galli
8

Critique de par Pom_Pom_Galli

Je découvre Eric Rohmer avec "le signe du lion". Et je ne suis pas déçu. La déchéance de cet homme complètement fauché qui erre dans Paris permet d'admirer quelques magnifiques plans de la capitale...

le 28 nov. 2013

4 j'aime

KiidCathedrale
8

Subtile Odyssée

Le lion rugit sous une nuit sans étoile, les astres de l'indolence luisant au fond de ses yeux, dilapidant une fortune qu'il ne possède pas.. Costume taché, symbole de son errance sans fin dans cette...

le 4 janv. 2014

2 j'aime

FrankyFockers
7

Critique de par FrankyFockers

J'ai donc attaqué le coffret Rohmer de manière chronologique, d'autant que je n'avais jamais vu son premier film (1959, sorti en 1962). On y suit un musicien germano-pratin qui préfère l'oisiveté à...

le 7 nov. 2013

2 j'aime

Chicago
7

Un américain à Paris

Rohmer balade sa caméra dans un Paris estival pratiquement désert dont il fait un véritable personnage "participant" de plein droit au récit. De Saint-Germain-des-Prés à l’île de la Cité (au pied de...

le 21 févr. 2022

1 j'aime